The Solo Sessions, Vol. I
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The Solo Sessions, Vol. I

4.4/5
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Description

CD > POPULAR MUSIC > BLUES

Reviews

4.4

All from verified purchases

T**M

Damaged?

First thing I noticed was the damage to the jewel case. Broken in 3 places. The cd looked OK, so I put it in my cd player. Received Error message. Put a different cd in player, it played fine. Went back to this cd, same Error message. Tried this cd in a different cd player and it played. I'm not sure what's going on, but I won't be listening to it much because it only works on the player in my bedroom.

J**Z

the first of 2 great recordings of solo session

this was recorded in studio at a time when Evans was suffering from heroin withdrawal. great collection of what was to be his familiar repertoire of standards.

S**S

Five Stars

great to hear Bill play standards that were not typically part of his repertoire

S**2

Five Stars

Great inspiration for Jazz pianists.

M**K

Good

Good

J**O

A very easy listen, which is what I was looking for

A very easy listen, which is what I was looking for. Anyone who hears this should also give a listen to Chick Corea's "Piano Improvisations Vol. 1".

A**E

This is a great showcase album for Bill Evans mastery of the jazz ...

This is a great showcase album for Bill Evans mastery of the jazz piano style. Everything seems to blend so effortless.

J**N

Five Stars

item correctly described, quick delivery, a pleasant experience

M**S

Delightful.

This will leave you breathless with delight. Just Bill and his piano in contemplative mood. Do yourself a favour and buy Solo Sessions 2 to go with it. If you like Bill Evans you won't be disapointed.

F**Z

l'homme, l'artiste et l'artisan...

Aujourd'hui, c'est triste à dire, mais il me semble que la Technique (youtube, internet, sites en streaming) a tendance à tuer l'Art et l'art spontané, à petit feu, aussi paradoxal que cela puisse paraître... Bien sûr, ces moyens de communication permettent de découvrir telle ou telle œuvre, mais le plus souvent, savons-nous écouter et apprécier à sa juste valeur telle ou telle pépite ? Tout comme l'écriture en général et la critique en particulier, la dématérialisation nous fait perdre les vraies saveurs quand on se trouve uniquement devant son écran (kindle, amazon, etc.). Pour moi, il est clair que comme pour le livre, le disque est irremplaçable. L'objet, je veux dire. Je sais, ça n'est pas « tendance ». Tout fout le camp, mon bon m’sieur. Et puis, je m'en fous un peu, j'vous avoue... Le premier volume que voici est une pépite absolue signée  Bill Evans  (1929-1980). Le répertoire est constitué de six titres sublimes. L'état d'esprit ? Recueillement. Silence. Espace. Tout ce que j'aime dans le jazz. Et puis, que dire du pianiste ? C’était un génie, assurément. Il prenait le temps. Et il n'est pas étonnant que l'on nous rapporte (dans les notes de livret signées Orrin Keepnews, le producteur du label Riverside) que le pianiste, histoire de s'échauffer avant l’enregistrement, déchiffrait très rapidement des partitions de  Rachmaninov , là où d'autres musiciens auraient mis un temps infini... Gravée en janvier 1963, tout comme le second volume, cette session est historique. Pour plusieurs raisons. D'abord, c'est la toute première fois que le pianiste enregistre dans ce format. La version de « When I Fall In Love » est bouleversante par sa sobriété. En trois minutes à peine, l'essentiel est dit. Avec « Spartacus Love Theme » associé à « Nardis », célèbre composition de  Miles Davis  que Bill rejouera jusqu'à la fin de sa vie (voir  Turn Out The Stars, The Final Village Vanguard recordings , par exemple), on est là encore porté au-dessus de l'histoire des hommes. Et bien entendu, c'est l'une des plus belles versions jamais enregistrées avec celle de Gary Peacock dans  Tangents  (ECM, 2017). Savant dosage de construction harmonique et mélodique. L'équilibre et l'épanouissement portés à leurs paroxysmes. De la dentelle. Et dire que le producteur, pour des raisons liées aux conditions terribles dans lesquelles se trouvait le pianiste, n'avait pas voulu publier le matériel (sic). Il fallut attendre 1989 (re-sic).Voilà pourquoi ce disque ne sonne pas du tout « commercial ». C'est bien sûr avec le temps que l'on discerne une telle beauté atemporelle, ou pour le dire autrement, l'immortalité d'une œuvre pareille. Ainsi, après la jonction naturelle et de toute beauté entre « Spartacus » et « Nardis », l'on se dit que, voilà ce qu'est la transcendance : un artiste produit une œuvre qui le dépasse... Et nous dépasse... Même sentiment pour la suite. « Everything Happens To Me », avec de magnifiques ponctuations et une rigueur impressionnante (et pourtant, j'insiste, Bill Evans était gravement malade, d'une part à cause de la disparition de  Scott LaFaro  tué dans un accident de la route quelques mois plus tôt, mais aussi à cause de sa nouvelle dépendance aux drogues dures). « Everything Happens To Me », donc. Une méthode, une construction en train de se réaliser, là en direct, dans l'intimité la plus pure. Les sursauts, les catapultes que l'on y entend, et bien je me permets de le dire ici : même chez  Hank Jones , autre style certes, ou encore chez  Kenny Werner  un peu plus tard (écouter son superbe disque solo gravé lors d'un concert à  Stuttgart ) ou bien chez  Keith Jarrett , n'ont pas cette humanité ni cette tendresse que l'on trouvait chez Bill Evans. Ecoutez le développement de ce thème. La fluidité, la limpidité, l’interprétation, le sens des silences, tout cela est merveilleux et dépasse l'entendement. Science des harmonies. Toucher remarquable et incomparable. Si vous n'avez pas, après l'écoute de ce thème, ressenti la grandeur et la beauté du piano de Bill Evans, c'est que vous avez de sérieux problèmes. L'homme et l'artiste. April in Paris et sa tendresse, sa musicalité absolue. Le piano dans toute sa splendeur. La technique est ici au service de la Musique et d'elle seule. Joie et extase de jouer, sans triomphalisme toutefois.Bill Evans était un artisan... Un artiste et un artisan. Dans le sens noble de ces deux mots. Avec cet album, sérénité, un peu de tristesse aussi, mais pas de sentimentalisme, ni de complaisance. C'est le Jazz dans toute sa rigueur et sa beauté formelle. Sensibilité à fleur de peau d'un pianiste paumé mais sauvé par son art et par ses mains... jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus, un jour de septembre 1980. En tout cas, je reste persuadé que ce genre de session intime se déguste quand vous avez suffisamment de « bouteille », ou avec soi une bouteille, quand vous avez compris pas mal de choses sur votre vie (d'accord, c'est un peu présomptueux, on n'est pas obligé de le dire ainsi... ou à peine, l'effleurer en pensée). Mais il y a du Nietzsche dans la musique de Bill Evans. Du  Nietzsche  (philosophie), du  Keats  (poésie), comme pour dire, la vie n'est rien, elle n'est qu'une vapeur qui passe, et c'est à nous petits êtres humains de l'embellir, la vie, de la rendre belle, si possible. Par nos silences, notre espace. Nos espaces. Notre gratitude à l'égard des uns et des autres, sans triomphalisme. Sans fausse modestie. Juste seul(e). Le reste ne nous appartient pas. Personne ne nous appartient. Ni Bill Evans, ni sa Musique. Seul le temps de l'écoute vous fera peut-être comprendre ce que j'essaie d'exprimer avec mes faibles mots. Les silences, l’authenticité, le retrait, l'Art, la Musique, les livres, ont toute leur importance. Le beau ne se dit pas, finalement. Le beau est beau quand il y a autant de solitude en nous, et autant d'anticonformisme et de désobéissance aux injonctions de ce monde. Bill Evans était timide, dit-on. Oui, c'est vrai. Mais aussi un inadapté à la société. Autiste ? Non, pas vraiment. Et peu importe. L'artiste était avant tout un créateur. Il faisait UN avec son instrument. Seule la session solo de Lou Levy (dans le superbe  By Myself ) s'approche, de par sa nature authentique et sa musicalité, de cette session de Bill Evans. Aujourd’hui, je pense à un autre pianiste quand il s’agit de jouer en solo avec autant d’humanité et d’intensité, avec autant de profondeur et de hauteur, aujourd’hui, oui, le seul auquel je pense et qu’il faut absolument voir en concert, c’est  Fred Hersch . Ne le manquez pas si vous en avez l’occasion. Tout ça pour dire qu’il n’y a pas un pianiste à l’heure actuelle qui n’ait été influencé par Bill Evans, le maestro. Vous pouvez maintenant vuter ou ignorez ce commentaire, à votre guise, mais si un jour vous êtes seul(e), écoutez ces séances mirifiques et inoubliables à maints égards. Sessions pour l'éternité. Une sorte de paradis blanc. Bill EvansRachmaninovMiles DavisTurn Out The Stars, The Final Village Vanguard recordingsTangentsScott LaFaroHank JonesKenny WernerStuttgartKeith JarrettNietzscheKeatsBy MyselfFred Hersch

R**Y

Gloriously relaxing album

Bill Evans was a genius - playing unaccompanied piano enhances his brilliance. This album is a must for any piano loving jazz buffs.

M**A

Milestone

E qui siamo di fronte a sua Maestà Bill Evans.In questo album solista possiamo lasciarci andare all'ascolto melodico del suo straordinario tocco sonoro che è stato, e lo è tuttora, di assoluto riferimento per i pianisti Jazz.I brani sono bellissimi e l'interpretazione emozionale ed introspettiva di Bill li colorano di una luce straordinaria.

S**H

Une heureuse découverte.

On savait Bill Evans souvent insatisfait et dépréciatif de lui-même. Les enregistrements en solo du 10 janvier 1963, les derniers pour Riverside, dans une période très difficile pour le pianiste ont connu un long purgatoire et ne furent publiés que bien des années après sa mort. Injuste traitement comparé à la multitude d'enregistrements à la médiocrité confondante qui ne mériteraient pas la publication. Sans atteindre le génial "Alone" gravé presque six ans plus tard, Bill Evans nous gratifie de réussites incontestables " What kind of fool am I?" ou "Easy to love" par exemple. Ce qui surprend toujours chez le pianiste dans cette période c'est à la fois la vivacité de son jeu, la fulgurence et les variations d'intensité qui émaillent ses improvisations. Mais il y a aussi le son d'une admirable clarté ainsi qu'un "timing" intérieur surprenant comme l'avait si bien relevé Miles Davis, enfin une technique dont il n'est jamais fait étalage, car elle est toujours mise au service de la musique. Que du bonheur!....

Common Questions

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TrustScore 4.5 | 7,300+ reviews

Ayesha M.

The product exactly matches the description. Very satisfied with my purchase.

5 days ago

Sneha T.

Received my product in pristine condition. Great service overall.

1 month ago

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Suresh K.

Very impressed with the quality and fast delivery. Will shop here again.

4 days ago

Ali H.

Fast shipping and excellent packaging. The Leatherman tool feels very premium and sturdy.

1 day ago

The Solo Sessions Vol I | Desertcart OMAN